Italie-Espagne : La victoire facile de la Roja en demi-finale de la Ligue des nations à revivre en direct (2-1) (2024)

FINITOOOOOOOOOOOO. Démonstration espagnole malgré un score étriqué sur le papier. Les Italiens ont volé en éclats en 45 minutes, mangés techniquement et dans les deux surfaces. Avec un grand attaquant en plus de Torres, la Roja en mettait 4 ou 5 ce soir. voilà qui donne envie de voir nos Bleus s'y frotter dimanche, à condition de battre la Belgique demain à Turin. On y sera, évidemment. Des bises tout le monde!

93e : Grosse charge de Laporte sur Kean qui ne vaut pas moins carton jaune que celle de Bonucci en première mi-temps. Bon le tout c'est que ça fasse un dernier ballon dans la boîte. Sinon ce sera la première défaite italienne depuis trois ans. TROIS ANS.

91e : Sauvetage de Di Lornzo dans les peids de Bryan Gil, un autre gamin de la crèche ouverte par la famille Enrique. Toujours pas la queue d'un ballon à balancer dans la surface pour l'Italie

89e : Mais oui San Siro qui se lève pour insulter l'arbitre alors qu'il y a une balayette de compétition sur Yremi Pino. J'ai peur qu'on n'ait pas notre frisson d'ici le coup de siffler final, les Espagnols maîtrisent beaucoup trop leurs fondamentaux.

86e : Ah oui par contre les hommes de Luis Enrique se sont fâchés depuis le but de Lorenzo. Je suis pas sûr qu'ils aient lâché le ballon une seule fois, et c'est la panique permanente devant Donnaruma

83e : LE BUT ITALIEN FROME NOWHERE!!!! Grosse boulette espagnole après un corner dans la surface italienne, tête en retrait mal assurée donc profite Chiesa après un prssing de mort de fam. Pellegrini marque le but le plus facile de sa carrière. Et bé ça redevient intéressant

80e : 103 ballons touchés par Aymeric Laporte nous apprend Grg Margotton. On avait presque oublié qu'il était là dis-donc. Match sérieux du franco-espagnol, pas vraiment mis n danger faut dire

76e : DONNARUMA LE MIRACLE. Le gardient parisien évite l'humiliation d'une manchette un peu inspérée sur cette frappe un peu trop centrée d'Oyarzabal, décidément aussi beau joueur que maladroit dans la surface. Quel numéro de Pino à la base, un double contact sur Emerson à filer les poils

72e : RHO KEAN TU DOIS FAIRE MIEUX. Enfin un pressing italien payant, l'avant-centre de la Juve se retrouve en position idéale mais il envoie une saucisse à Calabria...Les Italiens ont mal négocié un ou deux ballons qui auraient pu donner un peu de suspense à la fin de match.

69e : En train de me demander si c'est une bonne idée de battre la Belgique demain. Je suis pas prêt à voir l'Espagne nous rouler dessus comme il y a dix ans. Trop humiliant.

66e : LA Roja qui joue à cache ballon. Je sens qu'il y a un gros tacle qui va partir dans pas longtemps et faudra pas avoir la gastro du côté de Gavi notamment, tellement insolent de talent.

63e : PFIOU LE TROISIEME QUI CHAUFFAIT! (Jérôme) Pino fait le coup de la doble accélération à Emerson pour déposr un amour de ballon à Oyarzabal qui manque sa tête. Enfin elle passe à dix centimètres du but italien...Pas loin de la correction là.

60e : Chiesa fait passer un frisson dans San Siro en dégainant une bastosse sur le poteau de Simon mais ilé tait hors-jeu au départ. L'Italie sort un peu, mais franchement personne n'y croit

57e : Kean et Locatelli envoyés à l'abbatoir. Merci du cadeau. Verratti ne va pas faire d'heures sup inutiles, ce serait couillon se de blesser pour un match déjà perdu.

55e : Je vous cache pas que l'arbitre ferait aussi bien de renvoyer tout le monde au vestiaire dés maintenant parce que les Italiens ne dépassent pas le milieu de terrain. Même sans le ballon. L'année magnifique du sport italien ne pouvait pas durer éternellement

50e : Luis Enrique lui continue de s'amuser avec son équipe de junior. Il lance un autre gamin, l'ailier du sous-marin jaune Pino à la place du héros de la première mi-temps Ferran Torres, qui s'est fait mal. Jamais entendu parler de ce Pino pour être honnête. Je me souviens d'un gars qui avait le même blaze à Monaco, et il n'a pas laissé un grand souvenir

47e : Je vous ai même pas dit que c'était la MT mais vous aurez deviné tout seul. On reprend à l'instant. Mancini n'a rien changé à vue d'oeil

45e : LE PION DE TORRES ENCORE MAIS QUELLE MERVEILLE . Action sans contrôle tout du long qui se termine par un centre déposé sur la tête de Torres qui la claque comme le Fernando de la grande époque. 2-0, arrivedecci Roma.

43e : Mancini envoie son régiment de réserve à l'échauffement mais va sans doute attendre la mi-temps pour réfélchir tranquillement à une réorganisation tactique qui laissera son équipe dans le match jusqu'au bout.

40e : LE ROUGE POUR BONUCCI!!! Coup de coude après un duel avec Busquets. J'attends le ralentI...Bon c'est pas une déclaration de guerre non plus. Ca vaut à peine un jaune, mais vu que le défenseur de la Juve en avait déjà un. Voilà qui nous sabre un peu le match

36e : L'Italie va mieux et récupère un peu son souffle mais laissez-moi vous dire que Gavi c'est quelque chose. L'impression de revoir Pedri il y a un an. Peut être les futures Xavi et Iniesta du Barça, le temps que ça pousse?

33e : LE POTEAU POUR BERNADESCHI!!!ET INSIGNE QUI CROQUE UN TRUC ENORME!!! La double occasion italienne incroyable. Deux fois Jorginho à la manoeuvre, deux duels avec le gardien, et surtout un gros raté d'Insigne à dix mètres du but. Le Napolitain n'en croit pas ses yeux, nous non plus.

29e : Exceptionnels les Italiens qui mettent une pression du tonnerre sur l'arbitre russe comme si on jouait la finale du Mondial. Notre ami Marco en première ligne évidemment.

27e : DI LORENZO!!! Il coupe bien ce corner en rase-motte de Verratti mais ça passe à côté. Enfin une petite réaction de la Squadra, étouffée depuis 20 minutes

24e : Azpilicueta a le droit d'insulter la maman de Ferran Torres ainsi que sa grand-mèr là-dessus. L'ancien marseillais fait un appel de bison sur la droite et le Citizen l'oublie complètement...

21e : La séquence espagnole mes aîeux c'était de la Roja vintage 2008-2012. Avec la verticalité qu'on avait oublié ces dernières années. Dommage que les individualités soient un peu moins fortes, parce qu'il y a encore une sacréeéquipe

18e : LA TOILE DE GIGI!!! L'Italie pas loin de se noyer complètement sur une nouvelle transition espagnole. Frappe d'Alonso, Donanruma en mode peau de pêche, et Bonucci qui sauve le coup on ne sait trop comment sur sa ligne

16e : LE GOLAZO!!!!!!Ferran Torres qui coupe du plat du pied un centre magique d'Oyarzabal. La parabole les amis wahouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu

13e : OYARZABAL CRIMINAL!!!! Sarabia lancé à la limite du hors-jeu, peut-être l'était-il d'ailleurs, il a environ trois ans pour servir l'attaquant de la Real Sociedad sur un plateau et ce dernier trouve le moyen de se faire contrer. Grosse frayeur pour l'Italie.

10e : Bizarre quand même de pas voir Kean en pointe côté italie. Rien contre Bernadeschi, mais enfin c'est quand même pas un neuf de formation, ni même un ailier qui marque des buts, aux dernières nouvelles

7e : Gros pressing du bloc italien qui ne veut pas subir autant que lors de la demi-finale de l'Eurp. Unai Simon a déjà dû se détendre une fois pour sortir une belle frappe de Chiesea.

4e : Gigi Donnaruma sifflé comme du poisson pourri à chaque ballon touché. Il fallait s'y attendre, même si les sifflets sont au moins autant pour Raiola que pour le nouveau gardien parisien.

3e : Chaude ambiance en tout cas à Milan. On a très envie de jouer L'Italie dimanche soir en finale dans ce stade mythique, on est d'accord?

1e : C'EST PARTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIi

20h45 : Deux chiffres avant de commencer. L'Italie n'a plus perdu depuis 37 matchs, et le stade de San Siro ne sera rempli qu'à moitié, puisque le gouvernement itlaien n'autorise que des jauges à 50% de la capacité totale du stade

20h40 : Mancini aligne de son côté une grosse partie de l'ossature championne d'Europe. On suivra particulièrement les matchs de Donnaruma, Emerson et verratti, nos trois ragazzi de L1.

🏆 #NationsLeague

Gli 11 #Azzurri 💙 scelti dal Ct Mancini per

🇮🇹 #Italia 🆚 🇪🇸 #Spagna

⏱️ Oggi, ore 20.45
🏟️ Stadio G. Meazza San Siro - #Milano
📺 In diretta su #Rai1 #Semifinale #ItaSpa#Azzurri #VivoAzzurro pic.twitter.com/g14NvAmBeq

— Nazionale Italiana ⭐️⭐️⭐️⭐️ (@Azzurri) October 6, 2021

Italie-Espagne : La victoire facile de la Roja en demi-finale de la Ligue des nations à revivre en direct (2-1) (1)

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20h35 : Je nous dégote les compos. D'abord l'Espagne, ou l'attaque fait un peu peine à voir avec Sarabia annoncé en faux neuf. Et sinon Luis Enrique n'a peur de rien. Il titularise d'emblée Gavi, 17 ans et 4 bouts de matchs avec le pire Barça des 30 dernières années. C'est osé.

🚨 ¡¡RECORDAMOS NUESTRA ALINEACIÓN!!

💪🏽 Así salimos en estas semifinales de la #NationsLeague ante Italia. ¡¡A POR TODAS, EQUIPO!!#VamosEspaña pic.twitter.com/Z5mygQBOz4

— Selección Española de Fútbol (@SeFutbol) October 6, 2021

Italie-Espagne : La victoire facile de la Roja en demi-finale de la Ligue des nations à revivre en direct (2-1) (2)

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20h30 : Buonasera ragazzi e raggaza . Mes notions d'italien s'arrêtent là mais je suis un peu excité par cette semaine Ligue des Nations, je dois le reconnaitre. Revanche de la demi-finale de l'Euro en plus. Miam.

On avait presque hâte de les retrouver, après la leçon donnée aux perfides Anglais en juillet. Trois mois après son titre de champion d'Europe, l'Italie, à domicile à Milan, affronte l'Espagne en demi-finale de la Ligue des nations, ce mercredi soir. Alors, oui, vous allez nous direque c'est juste la Ligue des nations, et vous auriez presque raison, mais on n'est pas à l'abri de vibrer encore une fois. Surtout que le vainqueur affrontera possiblement la France en finale, dimanche. Et puis, on ne va pas se cacher, voir San Siro siffler à tout va Donnarumma, de retour à Milan, sera un petit plaisir coupable. Alors, on vous attend pour vivre ensemble ce beau choc.

>> Suivez la rencontre dès 20h30 avec nous

Salut à tous! En tant qu'expert passionné de football, je suis ravi de plonger dans le vif du sujet concernant l'article sur la démonstration espagnole contre l'Italie en demi-finale de la Ligue des Nations. Ma connaissance approfondie du football, des équipes et des joueurs me permettra de vous fournir des informations détaillées sur les concepts utilisés dans le texte.

  1. L'Événement Principal:

    • La rencontre opposait l'Espagne à l'Italie en demi-finale de la Ligue des Nations.
  2. Déroulement du Match:

    • La démonstration espagnole était évidente malgré un score serré sur le papier.
    • Les Italiens ont été dominés techniquement et dans les deux surfaces, avec une performance notable de la Roja en première mi-temps.
  3. Moments Clés du Match:

    • Le grand attaquant Torres a été mentionné, suggérant qu'avec un autre attaquant de sa trempe, l'Espagne aurait pu marquer davantage.
    • Des moments critiques, comme une grosse charge de Laporte sur Kean, ont été soulignés.
    • Un sauvetage crucial de Di Lorenzo et une boulette espagnole ayant conduit au but italien ont été notés.
  4. Réactions et Ambiance:

    • La réaction du public, notamment les sifflets envers l'arbitre, témoigne de l'intensité du match.
    • La performance impressionnante de Donnaruma dans les cages a été soulignée, avec un miracle pour éviter une manchette inattendue.
  5. Éléments Statistiques:

    • Des statistiques, comme le nombre de ballons touchés par Aymeric Laporte et des informations sur les remplacements, ont été mentionnées.
  6. Réflexions sur l'Avenir:

    • Des réflexions sur la possibilité de battre la Belgique pour affronter l'Espagne en finale ont été partagées.
  7. Commentaires sur les Joueurs:

    • Des observations sur des joueurs spécifiques, tels que Pino et sa double accélération, ainsi que Kean et Locatelli envoyés à l'abbatoire, ont été incluses.
  8. Interventions de l'Entraîneur:

    • Luis Enrique a été mentionné pour ses choix audacieux, notamment en lançant des jeunes joueurs comme Gavi.
  9. Contexte Historique:

    • La longue période sans défaite de l'Italie (trois ans) a été soulignée, ajoutant une dimension historique au match.
  10. Références Culturelles:

    • Des références à San Siro, le stade mythique à Milan, et les réactions du public ont été intégrées pour donner un contexte culturel.

En conclusion, cet article offre un aperçu complet de la rencontre entre l'Espagne et l'Italie, mettant en lumière les moments clés, les performances individuelles et les réactions passionnées des supporters.

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Author: Greg Kuvalis

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Name: Greg Kuvalis

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